Après avoir été victorieux--
-Ma conquête, sublimineuse;
-Et la tempête: si chaleureuse;
-La montaigne: je l'ai monté.
Le voilà, le sage: le vieux--
Un clochard, peut-être, mais lumineux--
Ses yeux volés; si, par y'est vaux:
-Les épochs des amants faux
Et les chaînes de l'ésclavages?
-Les os perdus de tes sauvages,
Et mes aventures, mes nétoyagges
Des mots des sourds, et ses visages!
Et là, au dessus, les pieds ruisselants,
Sa peau, le cuir dont j'ai taillé mes gants--
Et me dit-il: viens mon pauvre enfant,
Ouvres-les: ton cœur, ton âme,
Oublies ta memoire aux flâmes
Qui brûlent ta langue de pensées tames,
Qui vendent tes chaînes aux petites rames;
Viens, viens, dit-il, réclames ton âge,
C'est pour çela tu me trouves sage
Me voilà, c'est moi: la glace ou tu peux voir,
Une vie si au matin née est morte au soir!
Donc n'achetes pas ton foi des foux:
-Qui comme les ânes se croient des loups,
-Et pour qui Diables résérvent ses siège
The Line Break
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